Du côté maternel de Paul Levasseur (sosa 22), Marie Blanche Laray (dite Marie) est sa deuxième sœur et le troisième enfant de Céleste Barbaray (sosa 45) et Frédéric Florentin Laray. Elle est née à Bermonville le 17 février 1862, un an après la petite Marie Modeste décédée à un mois, et 2 ans et demi après Pascaline Laray dont j’ai parlé dans un précédent billet.
Comme ses frères et sœurs Marie passe son enfance à Bermonville avec ses parents, puis déménage à Ecalles-Alix lorsque sa mère Céleste Barbaray (sosa 45) se remarie avec Louis Levasseur (sosa 44). En 1880 la famille habite à Barentin. C’est dans cette ville et cette année-là que Marie épouse Jean Baptiste Gustave Leroy (dit Gustave) le 9 octobre. Il a 26 ans, elle en a 18. Ils sont bien sûr cultivateurs. En juillet 1881 on les retrouve à Pissy-Pôville où naît leur premier fils Gustave Henri (dit Henri). Mais ils ne restent pas longtemps dans ce village puisqu’en septembre de la même année, ils habitent à Hugleville-en-Caux au hameau du Mesnil. C’est là que naissent leurs quatre autres enfants : Marie Louise Pascaline née en 1882 et décédée en 1884, Albert Jules né en 1883 et décédé en 1884, Marie Hélène née en 1888 et enfin Julia Louise née en 1890.
Le couple déménage à Mesnil-Panneville au hameau d’Hardouville en 1890 ou début 1891. Ils y vivent, avec leurs trois enfants jusqu’en 1905.
Cette année-là leur fils Henri se marie avec Louise Delphine Grandsire. Celle-ci est une cousine germaine de François Grandsire, le mari de Germaine Levasseur (vus dans ce billet). Henri et Louise auront 2 enfants, une fille et un garçon. Henri décède entre 1927 et 1942. Louise s’éteint chez ses enfants en 1942 probablement à Betteville.
Pendant ce temps-là ses parents Marie et Gustave habitent toujours à Mesnil-Panneville mais au hameau Saint-Antoine, alors qu’Henri habite toujours à Hardouville. Peut-être a-t-il repris l’exploitation de ses parents puisqu’il est aussi cultivateur. Cependant Marie et Gustave sont toujours exploitants agricoles et habitent avec leurs deux filles Marie Hélène et Julia Louise. En 1911 Marie Hélène épouse Arthur Edouard Beaudoin. Ils repartent vivre à Hugleville-en-Caux. Ils ont quatre enfants (deux garçons et deux filles) qui y sont nés. Ils auront une descendance, dont Yvan Beaudoin qui a mis sur sa page Geneanet la photo de ses grand-parents et arrière-grand-parents. Vous pouvez voir sur cette page la photo de Marie. Marie Hélène décède en 1977 à Tôtes. Elle avait 88 ans.
Sa sœur, Julia Louise, se marie en 1921 avec Cyrille Firmin Raimbourg, un cousin éloigné de Bourvil. Je me suis un moment demandé si ce pouvait être la raison de la présence de Bourvil (André Raimbourg) à la boulangerie de Grand-père et Grand-mère en 1936/1937, mais le lien est très éloigné entre André et Cyrille Firmin. Donc ça n’a rien à voir.
Pour l’anecdote, de mon côté maternel, je cousine également avec Cyrille et André Raimbourg via les mêmes ancêtres Adrien Raimbourg (sosa 900) et Anne Delanos (sosa 901), mais par un autre de leurs fils Pierre Raimbourg (sosa 450).
Julia Louise et Cyrille se sont installés à Mont-de-l’If. Ils ont eu au moins une fille née en 1923 à Goupillières, peut-être chez ses grand-parents paternels.
Julia Louise est décédée en 1931 à Mont-de-L’If. Elle avait 41 ans.
Quant à leurs parents, ils continuent à habiter à Mesnil-Panneville jusqu’à leur décès en janvier 1935 (Marie le 3, Gustave le 23). Marie avait alors 72 ans.
Encore une fois, je ne sais rien des relations entre Marie Laray et Solange Levasseur (sosa 11).
Dans le prochain billet je parlerai de Frédéric Laray, le deuxième frère de Paul Levasseur.
La classe de cousiner avec Bourvil 🙂
Oh ! RAIMBOURG, comme Bourvil ! un lien trouvé, peut-être ?
Oui je parle bien de Bourvil dans ce billet, il est à la fois le cousin de Cyprien Raimbourg, et comme je le dis dans ce billet je suis aussi cousine avec lui du côté de ma mère.
De plus Bourvil a été garçon boulanger chez mes arrière-grand-parents (donc Grand-mère) pendant quelques mois juste avant de partir à Paris pour devenir l’artiste que nous connaissons.
Donc des liens avec Bourvil, finalement j’en ai plusieurs !